Le prof de sport

Invité Dim 13 Mai - 16:36

Fiche garçon

♀ Identité : ♂

» Né(e) le ...à (ville)25/05/1986
» Âge :26
» Sexe :homme
» Orientation sexuelle:hétéro
» Origines:France

» Groupe:Professeur

[color=yellow]
☼ Description : ☼

» Descriptions physiques: (En plus de la couleur de cheveux et de tous ces détails banals, nous vous demandons un minimum d'information sur les éléments suivant : posture, style de vêtement, sa vison de lui/ d'elle même, la vision que les autres ont, défaut et qualité physique etc...)

Hukchi Urubiki mesure 1.70m, il se considère donc petit par rapport à la moyenne des hommes mais n'en souffre pas au contraire il a toujours préféré lever les yeux pour regarder quelque un. Pour lui c'est un bon moyen d'éviter de croiser les regards.
Ses cheveux sont châtains, il ne les coiffent jamais et décide des les couper uniquement lorsqu'ils lui tombent devant les yeux. Son front est donc souvent caché par ses mèches rebelles qui virevoltent avec le vent.
Urubiki a les yeux vert plus ou moins clair selon la luminosité de l'endroit où il se trouve. Son regard est profond et semble souvent triste pour les gens qui l'entourent. Il a la flemme de se raser tous les matins ce qui lui donne souvent une légère barbe piquante que n'apprécient pas vraiment les femmes de passage qu'il à l'habitude de fréquenter.
Urubiki est un homme au physique bien dessiné, il n'a jamais eu l'intention de se dessiner un corps comme les modèle masculin présent dans les magasines de mode. Mais il a toujours fait beaucoup de sport ce qui a eu pour effet de sculpté son corps au fil du temps.
A l'âge de 18 ans pour marquer son passage à l'âge adulte il s'est fait faire un tatouage sur l'omoplate droit qui remonte jusqu'à l'épaule. C'est un tatouage très personnel pour lui qui représente beaucoup de chose à ses yeux. Il s'agit d'un cratère dans son corps laissant apparaître des câbles mécaniques détériorés desquels s'écoule une substance noir mélangée à son sang rouge qui coule sur sa peau. Son tatouage il ne le laisse pas apparaître volontairement portant généralement des vêtements qui ne mettent pas en avant son corps.
Urubiki à également deux cicatrice, la première est située sur sa fesse gauche, il l'a doit à une mauvaise chute en moto en recherchant comme à son habitude le frisson et de nouvelles sensations à travers la vitesse. La seconde est située sur sa poitrine à l'emplacement où l'on désigne le cœur, celle la aussi il l'a doit à un accident, mais celui-ci lui laissa une blessure bien plus profonde qu'une simple cicatrice, une blessure réveillée chaque fois qu'il ce regarde torse nue.

» Descriptions psychologiques: (qualité et défaut, les choses aimées et détestées, sa vision du monde et des autres, la vision qu'on a de lui/d'elle, ce qui déclenche sa colère/son rire/sa tristesse/sa peur etc...)

Urubiki est un homme réservé qui apprécie beaucoup la solitude. Il ne se tourne vers les gens que pour partager des activités qu'il apprécie ou lorsqu'il cherche des réponses. De ce fait il parait plutôt sombre et n'encourage pas les gens à se tourner vers lui, ce qu'il ne regrette pas au contraire. En revanche si une personne franchie le pas et vient se confier à lui, il sait se montrer réellement à l'écoute et à prit l'habitude de ne jamais juger les autres quoi qu'ils aient pu faire ou aient l'intention de faire. Urubiki se force à ne jamais s'attacher de peur de souffrir, les conversations qu'il entretient avec les autres portent donc essentiellement sur eux. Hormis le fait qu'il soit très bon dans l'ensemble des sports, ça principale qualité est qu'il est ouvert à beaucoup de chose puisqu'il ne porte pas de jugement tranché. C'est donc également son principal défaut puisqu'il parait froid et ne se range pas d’emblée du côté de ce que les gens trouvent juste et bien. Urubiki vie beaucoup trop dans le passé et ressasse souvent des pensées mélancoliques l’empêchant de profiter réellement des instants présent ni même de se projeter vers l'avenir. Il ne se trouve pas vraiment dépressif, simplement triste les trois quarts du temps. Il est bien conscient que le véritable bonheur vient du partage avec les autres mais il sait aussi que c'est la source des plus grandes souffrances et déceptions. Urubiki ne cherche pas vraiment à changer à vrais dire il n'a pas véritablement de but simplement celui de ce découvrir réellement.

» Rêves d'avenir: (métier, vengeance, retrouver quelqu'un etc...)

Urubiki souhaite simplement au fond de lui être heureux en trouvant une véritable raison de vivre.

☼ Histoire: ☼

» Histoire de votre personnage: (on ne demande pas de raconter UN épisode de la vie de votre personnage, mais bien de tout nous raconter depuis sa naissance. En disant tout, on veut bien sûr parler des choses qui nous renseignent le plus : situation familiale et sociale, mode de vie, rencontre les plus importantes s'il y en a, vision de votre personnage vis à vis de tout cela, l'évènement qui l'a conduit à venir à Seiko etc...)

Hukchi Urubiki est né en France dans une petite ville montagneuse des Pyrénées. Ses parents sont tous les deux originaires du Japon et il ignore la raison de leurs venus en France. Son enfance a été heureuse et insouciante. Il n'a jamais souffert du manque de nourriture ou d'argent et l'amour de ses parents était immense. Sa mère ne travaillait pas préférant s'occuper de lui dès qu'il rentrait de l'école, son père avait ouvert un restaurant ou il cuisinait des spécialités japonaise tranchant énormément avec la culture locale, ce qui ne lui ramenait pas beaucoup de clients. Mais ils avaient de l'argent, beaucoup d'argent que Urubiki n'a jamais vraiment expliqué. Il vivait dans un chalet plutôt reculé du reste de la population, chez lui Urubiki parlait avec ses parents en Japonais mais sa culture était occidentale et il n’eut aucun souci d'intégration à l'école. Plutôt futé selon les dires de ses professeur Urubiki n’eut aucun problème en cours et son enfance fut jalonnée d'amis en tous genre. Ses onze premières années ce sont donc déroulées sans problèmes dans le bonheur le plus complet que l'on puisse souhaiter à un enfant. C'est dans son entrée dans l'adolescence que Urubiki a commencé à changer, bien qu'aillant tous ce que l'on peut souhaiter à son âge, popularité auprès de ses pairs, succès avec les filles, de bons résultats à l'école, il commença à ce poser des questions, beaucoup de questions. A propos de ses origines, du déménagement de ses parents si loin de leur pays natal, de leurs argents et leurs qualité de vie bien supérieur à celui d'un simple gérant de restaurant japonais. Toute ces questions rongeait petit à petit Urubiki qui devenait plus distant jours après jours s'interrogeant de plus en plus sur lui même et son proche entourage. Au cours des vacances scolaire d'été ses parents avaient décidés de l'amener pour la première fois voir la mer, ils avaient loués un petit bungalow au bord de l'eau et espéraient ainsi redessiner le sourire de leur fils qui disparaissait de plus en plus pour une raison qui leurs échappaient complètement. Même aujourd'hui Urubiki se souvient de chaque détails du trajet qui allait le mener vers cette étendue d'eau infini qu'il n'avait vue que sur des photos ou à la télé. C'est vrais qu'à l'idée de voir cet infini devant lequel tous vous semble lointain et futile, là ou vos yeux et vos pensées se perdent , le sourire d'Urubiki réapparaissait un peu. Il regardait le paysage montagneux défiler derrière la vitre de leur 4x4 qui prenait parfaitement les courbes des virages tortueux de la petite route sinueuse parsemées de feuilles que le vent déposé là après les avoir fait tournoyé un long moment comme bercé par une douce mélodie. Le temps semblait suspendu Urubiki arrivait parfois à décrocher son regard de ce paysage magnifique pour le poser sur le visage de sa mère. Visage d'une beauté incroyable illuminé par un sourire éclatant et des yeux bleus profond remplis d'admiration qui fixés tendrement son père. Visage qui en une fraction de secondes se décomposa et laissa place à la peur, une peur extrême accompagnée d'un cri strident vous arrachant les tympans. L’effroi dans les yeux de sa mère qui scrutaient ce poids lourd arrivant droit sur eux voilà la dernière image que Urubiki garda en tête de cette journée avant le trou noir. Cette journée qui devait lui redonner son sourire enfantin le lui effaça à jamais. Ce n'est que quelques jours plus tard que Urubiki repris connaissance dans son lit d'hôpital, c'est là que l'on lui expliqua qu'un chauffeur de poids lourd avait sans doute prit ce virage serré trop vite, sans doute fatigué de ces nombreuses journées de route et de son divorce tout frais, sans doute gêné par ce soleil qui lui tapait depuis plusieurs heures sur son crâne quelque peu dégarni et rougit par le litre de rosé qu'il s'était enfilé lors de sa pose déjeuné. C'est dans ce lit d'hôpital qu'on lui dit que ses parents n'avait pas survécus ajoutant comme pour le consoler qu'ils n'avaient pas souffert, Urubiki ne se senti pas consolé pour autant pour lui c'était évident que ses parents, ses chers parents son sang, la réponses à toute ses questions, la source de son bonheur n'avaient pas dû souffrir écrasés par l'impact des tonnes de tôles ce fracassant sur eux. A la suite de ça Urubiki fut alors placé dans un pensionnat pour orphelin. Durant toute son adolescence les questions sur lui même ne cessèrent de s'intensifier. Urubiki s'isola du reste du monde de plus en plus. C'est à l'âge de quinze ans qu'un nouveau virage vient changer son mode vie. Comme à son habitude Urubiki déambulé dans les couloirs désert de l'internat perdu dans ses pensées lorsqu'il attendit des bruits sourd qui se répétaient sans fin et qui provenait de derrière une porte. Urubiki ne sait toujours pas pourquoi sa curiosité a été plus forte que d'habitude l'incitant à ouvrir la porte pour regarder, sans doute que les bruits l'empêchaient de se concentrer. C'est lorsqu'il ouvrit la porte qu'il vit un homme torse nue dans le coin d'une salle taper de toute son énergie sur un punchingball. La salle était sombre mais l'homme était dos à une fenêtre qui laissait filtrer un rayon de lumière illuminant son dos aux muscles saillants ruisselant de sueur. Urubiki était fasciné et complètement désemparé devant cet homme qui lâchait toute son énergie dans chaque un de ses coups. Puis le bruit disparut, sans doute l'homme avait-il senti sa présence, c'est alors qu'il se retourna avec un sourire immense malgré le fait que son visage était déformé par la fatigue. Urubiki fit alors la connaissance de Konji qui devient et restera à jamais son modèle. Konji était l'homme de ménage de l'établissement quand il ne travaillait pas Konji passait l'essentiel de son temps à faire du sport. Sans doute Konji avait senti le mal être d'Urubiki dès le premier regard peut être était ce pour sa qu'une complicité allait naître entre eux. Fasciné par cet homme Urubiki se confia à Konji. Ce dernier enseigna à Urubiki les incroyable vertus du sport, il lui montra comment extérioriser ses sentiments, il lui dévoila les bien fait du dépassement de soi. Les deux hommes était toujours ensemble s'entrainant tous les jours dans une multitudes de sports, les prédispositions d'Urubiki le firent progresser très vite. Son corps se scuta très vite. Les deux hommes communiquait peu entre eux, ils laissaient leurs sentiments et leurs émotions s'échapper aux travers de leurs mouvements. Parfois pour récupérer Konji amenait Urubiki dans un endroit isolé de tout, au bord d'un ruisseau, sur un rocher au milieu de la forêt, dans un pré, et il s'asseyait pour méditer, Urubiki faisait de même. L’ensemble de l'adolescence d'Urubiki se passa ainsi au contact de Konji et à travers le sport ses pensées s'apaisèrent. C'est donc naturellement que Urubiki s'orienta vers des études liées au sport. Il n’eut aucun problème à réussir le concourt de professeur tant ses qualités physiques et ses connaissances étaient impressionnantes. Mais bien que Urubiki trouvait un échappatoire dans le sport et au contact de Konji les questions sur lui même et ce sentiment de vide qui l'habitait toujours ne s'estompait pas pour autant l'empêchant de renouer véritablement avec le bonheur. Il prit donc la résolution de partir en quête de lui même et de retourner dans le pays d'origine de ses parents, le Japon. Sur internet il trouva un poste d'enseignant vacant dans une académie du nom de Seiko, il décida donc de tenter sa chance. Il fit ses adieux à son mentor, son idole, son ami Konji qui n'était pas vraiment surpris de sa décision et qui lui dit cette dernière phrase avant de le voir partir. "Urubiki un homme ne peu vivre pleinement si les chemins qu'il arpente son tournaient en direction de réponse plutôt que vers la recherche de question. Apprend à te connaître pour pouvoir apprécier ce qui t'entoure." Urubiki s'envola alors en direction de Seiko à la recherche de lui même.

» Pire ou meilleur souvenir: (Vous pouvez faire les deux, mais un seul au moins vous ai demandé, avec les informations suivantes : émotions de votre personnage, détails sur ce qu'il s'est passé, moment de la journée > cela peut aussi avoir duré plus de temps, personne en rapport avec ce souvenir s'il y en a etc...)

Le pire souvenir que Urubiki garde en mémoire est inévitablement la mort de ses parents.
Son meilleur souvenir se déroula un samedi après midi au bord d'une cascade avec Konji. Après avoir médité en silence une bonne heure à l'ombre d'un pin immense Konji se leva est plongea pour aller se placer au pied de la cascade. Il leva alors les yeux pour regarder l'eau qui semblait s'écoulait au travers des nuages. Puis il tourna la tête vers Urubiki qui continuait de le regardait l'air émerveillé et lui dit simplement:
"On se retrouve en haut."
Sur le moment Urubiki ne saisi pas ce que Konji à voulu dire ce n'est que lorsque celui-ci ce mit à grimper sur la gauche de la cascade qu'il comprit que c'était une nouvelle épreuve et qu'il devait en faire autant de son côté. Il se plaça alors à droite de ce flux d'eau continue qui s’abattait avec une puissance démesurée dans cette étendue magnifique et à son tour leva les yeux. Un mélange étonnant d'émotion s'empara alors d'Urubiki, d'abord la beauté de la falaise le frappa, il trouvait magnifique ce rocher sur lequel venait se refléter les rayons du soleil à travers les goutes d'eau provenant de la cascade, et qui semblait monter jusqu'au cieux. Mais l'émerveillement du décors et l'admiration de Konji firent place à la peur. La peur que Urubiki avait d'échouer, la peur de ne pas réussir à monter jusqu'en haut sans assurance, non la peur de ne même pas réussir à essayer. Il fallu un long moment à Urubiki avant qu'il ne se décide de s'agripper au rocher chaud. Puis prise après prise contre la chaleur du caillou, humidifié par sa sueur et les éclaboussure il s'éleva de plus en plus haut. C'est entre ciel et terre qu'il se retrouva alors le plus en phase avec lui même. Oubliant toute chose ne laissant place uniquement aux émotions qui se mélangeaient à l'intérieur de lui il grimpa jusqu'au sommet. Une fois en haut il se tourna alors vers Konji et sans se forcer tout naturellement se dessina sur son visage un incroyable sourire. Cette ascension avait permit à Urubiki de mieux se connaître.

» Raison de la venue dans l'Académie Seiko: (même si vous avez déjà mentionné ce détail dans l'histoire, remettez le ici, si possible avec un peu plus de détails que précédemment)

Urubiki cherche un emploi au Japon dans l'espoir d'en découvrir plus sur lui même.

☼ Autres informations: ☼

» Quels groupes admirez-vous ? Et pourquoi ?

Aucun en particulier, tous on leurs intérêts.

► Informations personnelles : ◄

» Votre prénom: (facultatif) Benoit

» Votre âge: (obligatoire)23 ans

» Un parrain? (vous pouvez demander à l'un des membres de l'équipe administrative si vous le souhaitez)Pourquoi pas, avec plaisir.

» Comment avez vous connus le forum?

En cherchant sur internet

» Niveau de rp: (si vous ne savez pas où vous placez, indiquez le nombre de lignes que vous faîtes en moyenne)

Franchement aucune idée...

» Code des règlements: (obligatoire pour la validation de la fiche)

Heu j'en ai vue plusieurs donc il y a: cha-rmeur; cha-rmant; Savez-vous; qui est; Chacha; aime; Cha-huter; Cha-muser :3 !

**Kiyumi Tsukimura** Dim 20 Mai - 12:45

Bonjour Urubiki,

J'ai fini ta fiche et comme tu t'en doutais, je ne la trouve pas bonne.
Il y a énormément de fautes d'orthographe impardonnables, au début j'ai cru qu'il s'agissait de fautes d'inattention mais je me suis aperçue après que ce n'était pas le cas puisque tu les répétais systématiquement.
Trop de fautes d'accord et la faute des verbes pronominaux, non désolé mais c'est trop !
Je trouve que tu as un style d'écriture extrêmement fluide (surtout pour l'histoire) mais ça en devient même excessif selon moi (ça c'est mon opinion personnel, il y en a qui apprécierait énormément, mais en ce qui me concerne, c'est tellement fluide que je n'arrive pas à attacher mon attention sur quoique ce soit...)

Je m'excuse de te refuser l'accès, tu avais l'air motivé, mais ça ne suffit pas.

Cordialement,
Kiyumi

**Yridd Simudar** Lun 21 Mai - 18:32

Salutation,

Je suis désolé de t'annoncer ça, mais je me range à l'avis de Kiyumi.
Pour tout t'avouer, je n'ai pas eu le courage de lire ta fiche en entier.
Désolé, mais pour moi non plus, ce que tu as fourni n'est pas suffisant pour qu'on te valide.

Y.S

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